Citations

Je vous souhaite des rêves… (Jacques BREL) – La version intégrale !

 

coaching dreams« Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir… et l’envie furieuse d’en réaliser quelques-uns. » 

Je vous ai déjà offert ces voeux magnifiques attribués à Jacques Brel. Toujours aussi difficile de trouver mieux à l’heure où, comme chaque année, je revisite ma Bucket List !…

J’ai pourtant trouvé mieux !!… ou plutôt plus complet !… J’ignorais que le texte de Jacques BREL que l’on trouve sur de nombreux blogs était raccourci et présenté dans une version abrégée.

Je n’ai pas pu mettre à jour mon blog de Ouagadougou, mais tout vient à point à qui sait attendre et voilà donc LA VERSION INTEGRALE des voeux de Jacques BREL, entendus pour la première fois sur Europe 1, le 1er janvier 1968 : Lire la suite »Je vous souhaite des rêves… (Jacques BREL) – La version intégrale !

L’ode à la Vie de Charlotte Kitley

 

CHARLOTTE KITLEY Life is beautifulCette semaine, je suis tombée plusieurs fois, par des canaux différents, sur le dernier billet de Charlotte Kitley, blogueuse décédée mardi 16 septembre, des suites d’un cancer de l’intestin.

Avant de mourir, Charlotte a écrit un tout dernier billet, en forme d’ode à la Vie, qu’elle souhaitait partager avec ses lecteurs.

J’ai l’honneur de partager son dernier message plein de vie avec vous sur mon blog, en espérant qu’il vous touchera et qu’il vous inspirera autant qu’à moi. Lire la suite »L’ode à la Vie de Charlotte Kitley

L’arbre qui voulait rester nu (conte inspirant)

 

arbre rester nu conteConnaissez-vous le conte « l’Arbre qui voulait resté nu » d’Antoine Lang ?

Je l’ai découvert très récemment, racontée par une magnifique conteuse : Isabelle TALPIN, dont je salue l’immense talent au passage.

Ce texte m’a beaucoup touchée, alors je vous en fais cadeau. Enjoy !

« Il était une fois un arbre.

Au beau milieu d’un verger, il était sorti de terre, petite pousse verte et fragile se confondant avec les herbes alentours. Curieux de tout, il regarda bien vite le monde qui l’entourait, les fleurs qui s’ouvraient le matin et se refermaient le soir, les oiseaux qui sifflaient en sautant de branche en branche, le paysan qui venait tôt le matin cueillir les fruits des arbres, les graminées qui ondulaient sous la caresse des vents…

Ah!, il le trouvait beau ce monde autour de lui, il avait envie lui aussi de participer à cette beauté, de trouver sa place dans cette harmonie.

Une année s’écoula et, ayant grandi, il était devenu un petit rameau portant quelques tiges. Il se rendit compte qu’il n’était pas un brin d’herbe comme il l’avait crû tout d’abord, mais un arbre et se mit à observer plus attentivement ses aînés.

Il les trouvait si grands, si beaux recouverts de leurs feuilles et de leurs fleurs; il fût si émerveillé de voir toutes ces fleurs se transformer en fruits, il fût si attendri des soins attentifs que leur apportait le paysan, mais…

Lire la suite »L’arbre qui voulait rester nu (conte inspirant)

L’ivresse de renaître de Christian Bobin

 

bobin muguet rireChristian Bobin est sans aucun doute l’auteur dont l’écriture me fascine le plus de tous les écrivains contemporains, tant sa plume est puissante, précise et poétique.

Moi qui aime les écrivains avec un vrai style, je suis décidément très gâtée avec Bobin, poète parmi les poètes, reconnaissable parmi tous. Un régal ! Ce weekend, je suis tombée sur un article de Christian Bobin, paru dans Le Monde des Religions (mai-juin 2014, page 82). Cet homme excelle dans l’art des mots.

Extrait :

 « Un ténor changeait mes os en cristal. Ce n’était rien, juste un chant d’oiseau dans le jardin que traversait une armée en marche des couleurs, sous le casque des fleurs. Je ne voyais pas le prophète, je n’entendais que ses leçons. Il réveillait le soleil. Dieu me rentrait par l’oreille. J’étais reconduit au paradis d’être vivant, donc immortel. Des murailles invisibles s’effondraient sous le chant d’un oiseau inconscient de son sacre, de son don, de sa race divine.

Ses notes tombaient comme une eau surnaturelle sur les flammes de l’enfer. Sois présent, disait l’oiseau : garde tes soucis, garde tes projets, garde tes liens, puisque tu as la faiblesse de tenir à tout ça. Garde tout, mais élève toi d’un cran, ne serait-ce qu’un instant. Hisse-toi sur ce tabouret de joie que je t’apporte, oui hisse-toi un instant qui ne sera plus qu’un instant jusqu’à cette note que je tiens, jusqu’au sans-souci, sans-projet, sans-lien. Jusqu’au rienLire la suite »L’ivresse de renaître de Christian Bobin

Pages : 1 2 3

Ne vous laissez pas mourir lentement !

 

la routine tueConnaissez-vous le poème « Il meurt lentement  » attribué à tort sur internet, à Pablo Neruda (1904-1973), poète chilien et Prix Nobel de littérature ?… Il est en fait l’oeuvre de Martha Madeiros, écrivain et journaliste brésilienne.  Je l’ai (re)découvert ce matin et il m’a beaucoup touchée.

Je rencontre tellement de personnes « qui meurent lentement »…. dans leur boulot notamment, mais aussi dans leur couple, leur choix de vie… ou leur choix de non-vie plutôt.

 Cela me questionne beaucoup… Qu’est-ce qui fait qu’un jour, on trouve cela normal de répondre « je survis… » à la question « comment tu vas ? »….  Qu’est-ce qui fait que certains ont mal au ventre dès le dimanche soir et serrent les dents dans le métro, tous les lundi matin… sans chercher à changer de travail, de patron, d’environnement, de vie tout simplement –Lire la suite »Ne vous laissez pas mourir lentement !

Be determined, hug life and LIVE WITH PASSION !… (Charlie Chaplin)

 

Charlie chaplin j'ai survecuConnaissez-vous le texte « J’ai survécu et je vis encore » de Charlie Chaplin (dans la série des petits textes qui donne la pêche) ? 

Ceux qui me connaissent savent que j’ai longtemps collectionné les citations. Pendant des années, je recopiais de ma plus belle écriture des passages entiers de livres. J’en recopiais parfois même en double pour les envoyer -par la Poste !…-  à une amie du collège et lycée qui était restée étudier en province. Cela me prenait des heures… J’adore tellement les citations que j’ai lu -en entier !!- l’Encyclopédie des Citations de Dupré, un livre énorme qu’en général, les « gens normaux » feuillettent comme un album photos, mais que j’ai lu de A à Z, en quête de la pensée juste, de la formulation précise, ciselée et savoureuse. Lire la suite »Be determined, hug life and LIVE WITH PASSION !… (Charlie Chaplin)

Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir…

 

coaching dreams« Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir… et l’envie furieuse d’en réaliser quelques-uns. » 

En 2013, je vous avais déjà offert ces voeux magnifiques attribués à Jacques Brel. Difficile de trouver mieux à l’heure où, comme chaque année, je revisite ma Bucket List !…

Mon blog étant passé de 20 visites/jour jour à 200 visites/jour en un an –merci à vous !!!-, je vous le remets pour les 180 absents 😆 :Lire la suite »Je vous souhaite des rêves à n’en plus finir…

Eloge de nos fêlures (conte)

 

pot fele conte chinoisCe week-end, j’ai entendu un bien joli conte. Un joli conte sur nos failles et nos fêlures. Pour ne pas dire « nos blessures ». Un conte qui offre un autre angle, un autre point de vue. Je vous l’offre pour votre lundi !…

Et si nos imperfections étaient AUSSI synonymes de richesses ?…

Il était une fois une vieille dame chinoise qui possédait deux grands pots, chacun suspendu au bout d’une perche qu’elle transportait, appuyée derrière son cou. Un des pots était fêlé, alors que l’autre pot était en parfait état et rapportait toujours sa pleine ration d’eau. À la fin de la longue marche du ruisseau vers la maison, le pot fêlé lui n’était plus qu’à moitié rempli d’eau.  Lire la suite »Eloge de nos fêlures (conte)

Eloge de nos fêlures (conte)

 

pot fele conte chinoisCe week-end, j’ai entendu un bien joli conte. Un joli conte sur nos failles et nos fêlures. Pour ne pas dire « nos blessures ». Un conte qui offre un autre angle, un autre point de vue. Je vous l’offre pour votre lundi !…

Et si nos imperfections étaient AUSSI synonymes de richesses ?…

Il était une fois une vieille dame chinoise qui possédait deux grands pots, chacun suspendu au bout d’une perche qu’elle transportait, appuyée derrière son cou. Un des pots était fêlé, alors que l’autre pot était en parfait état et rapportait toujours sa pleine ration d’eau. À la fin de la longue marche du ruisseau vers la maison, le pot fêlé lui n’était plus qu’à moitié rempli d’eau.  Lire la suite »Eloge de nos fêlures (conte)